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*tutututu* (musique epique)
Createur/producteur: Hideo Kojima
Editeur: Konami
Genre: Action/ Infiltration
Nombre d'opus: 6
Dates de sorties:
-1998: Metal Gear Solid (PS1 /Gamecube)
-2001: Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty (PS2 /PS3/Xbox 360)
-2004: Metal Gear Solid 3: Snake Eater (PS2/ PS3/Xbox 360)
-2006: Metal Gear Solid: Portable Ops (PSP /PS3/Xbox 360)
-2008 :Metal Gear Solid 4: Guns of th Patriots (PS3)
-2010 :Metal Gear Solid: Peace Walker (PSP /PS3/Xbox 360)
-????? :Metal Gear Solid 5 ? Ground Zeroes ? (???)
Synopsis:
Début du 21ème siècle, Shadow Moses, petite île dans l'Archipel d'Alaska où se situent des installations d'armes nucléaires se retrouve prise d'assaut par d'anciens membres de FoxHound (une unité secrete de l'armée Americaine).
Les demandes des terroristes sont simples : récupérer les restes de Big Boss (le "meilleur soldat du XXeme siecle") sous peine de lancement d'une arme nucléaire. Le secrétaire d'état à la défense fait alors appel à Roy Campbell, ancien commandant de FoxHound et à Solid Snake (notre heros) pour débloquer la situation.
Sa mission sera double : sauver le chef du DARPA, le directeur d'Armtech et juger de la gravité de la situation en découvrant si les terroristes ont bien les moyens de mettre leur menace à exécution.
Analyse:
Avec une amorce aux airs de film d'espionnage ultra classique se cache un scénario complexe et intelligent, bourré de rebondissements inétendus et servi par une galerie de personnages tous plus charismatiques les une que les autres.
Si je présente souvent ce jeu comme l'Anti-Call Of, c'est avant tout pour ca réflexion sur la guerre et le nucléaire; le jeu délivre un message très anti-militariste, Solid Snake lui-même se définit comme un tueur plutôt que comme un heros.
MGS 2: Sons of Liberty
Synopsis:
Cet opus nous met dans la peau d'un nouveau Heros du nom (de code) de Raiden et se passe quelques années après MGS.
La mission de cet agent sera d'infiltrer un complexe de depollution maritime (le Big Shell) afin de sauver le Président, retenu en otage sur place par d'anciens membres de la Dead Cell, une ancienne unité des services secrets.
Raiden devra en plus se charger de désamorcer les explosifs piégeant le complexe afin d’éviter une catastrophe écologique.
Analyse:
Encore une fois, même si le synopsis semble ultra simple, c'est le scénario qui fait tout l’intérêt du jeu. Cet opus s'impose largement comme étant le plus riche en révélations et le plus complexe dans son développement. Pourtant, malgré la complexité du scénario et des thèmes abordés (complots gouvernementaux, course a l'armement et même réflexion sur la définition même de l'humanité) l'histoire du jeu fait un sans fautes, tout se tient, rien n'est incohérent.
Tout ça pour dire que le scénario de MGS2 est certainement le plus aboutit jamais développé dans un jeu video .
MGS3: Snake Eater
Synopsis:
Retour dans le temps avec ce troisième volet de la série puisque l'action se déroule ici en 1964, en pleine guerre froide. Vous l’aurez deviné, ici, pas de Solid Snake en tant que héros . A la place, on incarne Naked Snake (futur Big Boss) dans une mission secrète en Russie.
La mission de Snake sera de détruire le Shagohod (un ancêtre des Metal Gears), une sorte de tank blindé équipé d'une rampe de lancement nucléaire. Son autre mission sera d’éliminer "The Boss", son ancien mentor qui a trahit les USA en se rangeant du coté Russe.
Analyse:
Un épisode qui rompt totalement avec les précédents aussi bien par l’époque que par le scénario. Toujours aussi cinématique (peut-être même plus), MGS3 s'attache plus a l'histoire directe du héros plutôt qu'au grands thèmes .
On se retrouve avec un jeu plus ludique,mais qui garde une histoire passionnante qui fait quand même la part belle aux complots internationaux et des personnages toujours aussi classes. Le principal axe de cet opus reste la relation entre Snake et son ancien mentor, The Boss, qu'il devra affronter et tuer malgré lui.
MGS4: Guns of the Patriots
Synopsis:
Hanté par son tragique passé, dévoré par le virus Foxdie, Snake nous revient essoufflé en plein milieu d'une guerre où les composants nano-technologiques sont aussi importants que les balles. Relique d'une époque révolue, notre héros avance pour régler ses comptes et en finir une fois pour toutes avec son Nemesis : Liquid. Enjambant les corps, se faufilant dans l'ombre, se fondant dans son environnement, la légende nous fait l'honneur d'une nouvelle passe d'armes avec ses ennemis de toujours.
Analyse:
N'ayant jamais joué au jeu, je ne pense pas être le mieux placé pour faire une analyse pertinente, je vous laisse donc cette énigmatique présentation (que j'ai piqué sur jeuxvideo.com)
En espérant que vous puissiez y jouer et le découvrir par vous même .
Comme vous vous en doutez, une saga s'etentant sur plus de 10 ans et ayant connu 3 generations de consoles a forcement evolué en terme de gameplay. Mais, meme a travers ces évolutions, on a tout de mémé un style propre a la série.
Tout d'abord, il faut savoir que la série Metal Gear a inventé le genre de l'action/infiltration et a su garder ses codes et ses mécaniques de jeu.
La base du gameplay de la série réside dans les possibilités pour se cacher (s'appuyer contre un mur/utiliser les bouches d’aération/ramper..), foncer bêtement dans le tas dans MGS est synonyme de mort assurée.
Autres bases des jeux, ne pas laisser de traces, a partir de MGS 2, les cadavres que vous semez derrière vous ne disparaissent plus comme par magie; a vous de vous débrouiller pour les planquer si vous ne voulez pas donner l'alarme .
Les jeu MGS ne sont pas non plus que de bêtes jeux d'infiltration, les combats de Boss sont une partie très importante du gameplay et sur le sujet, Kojima a toujours été très inventif. (comme par exemple le combat contre Psycho Mantis dans MGS1, ou le boss- expert en télékinésie- prends le contrôle de la manette du joueur, le rendant intouchable jusqu’à ce qu'on change de port manette).
Conclusion :
Les + :
+Une histoire en béton armé
+une galerie de personnages creusés
+l'impression de "jouer un film" grâce aux nombreuses cinématiques.
+ une gameplay rodé sur les derniers opus
+les jeux sont beaux (graphiquement parlant)
+des jeux non dénués d'une dose d'humour
+Des composition musicales magistrales
Les - :
-le gameplay des deux premiers jeux est limité pas les capacités des consoles de l’époque.
-Certains auront du mal avec la complexité du scénario du 2
-L'impression de "regarder un jeu" a cause des cinématiques .
Le trailer de l’épisode a venir sur consoles Next Gen :
Voila qui finit ma fiche, j’attends les avis de ceux qui ont joués et les questions des intéressés ^^ .