Il était une fois....L'histoire d'un nain. Bah ouais, j'avais pas d'inspi pour le début.

Il fait partie de la famille des Shmeurfs...
Le jeune ShogunBoulet... A eu une enfance normale, banale. Donc vu que ce passage est un peu chiant, on va le passer.

Traditionnellement dans sa famille, pour devenir un Haut familial, les Shmeurfs doivent partir à la recherche d'artefacts légendaires : des bâton moisi dorée indestructible, sceptre de DéfonceToutCarDivin, ancien Haut nain, qui était un nain spécialiste des bâtons et des pièces d'or, mais qui avait eu une grosse mutation génétique, du coup il avait plein de bras, donc c'est pour ça qu'il a pleins de sceptres. Et le but de la famille Shmeurf, bah c'est de retrouver tout les bâtons.

Donc après un gros coup de pied au cul de la matrone, balançant violemment le gamin nain dehors, il commence son aventure avec un bâton moisi comme seul équipement (il a un pagne, une pièce d'or et une chope de bière aussi...Le minimum vital quoi).

Après de super aventures, ou pas,, Shogun' se retrouva hanté par un fantôme de fille triste, coucha avec une succube, et adopta son redoutable lapoulet de guerre! (un mélange entre un lapin et un poulet)

Attention les barbus! Il a une Hache Shmeurfienne et un gros flingue! Ca va casser du barbu à coup de chattermites empaillées! (et de haches et de balles aussi en fait)

Bon, du coup c'est à moi de me présenter. Naine non de naissance mais d'adoption (ou plutôt je me suis perdue dans une mine), je n'ai pas eu de mal à adopter le style de vie sain et équilibré du petit peuple consistant à enchaîner les gueules de bois et les combats à la hache. Pendant plusieurs années, la taverne du coin fut plus qu'un toit pour mon âme vagabonde. Testeuse de haches et de marteaux pour près de quarante hivers, la recette du bonheur ne pouvait pourtant pas durer plus longtemps:  après quelques années de fidèles et loyaux services, l'auberge ferma ses portes, ne laissant derrière elle qu'une poignée de piliers de bar n'ayant pas encore compris le triste sort réservé à leur boutique favorite.

Armée d'une multitude d'outil en tout genre (y compris grille-pain et cuillère), ma principale occupation consista alors à explorer les mines désolées pour récupérer les vestiges d'un ancien temps et essayer, de temps à autre, de trouver une sortie.
Cela étant dit, n'ayant pas décelé d'échappatoire en plus de cent ans de pèlerinage, je fus contrainte de continuer ma quête grimée d'un postiche et d'une armure en peau de mouton des cavernes. Jusque là, ma couverture était parfaite.

Après une malencontreux qui-proquo, je fus élue présidente des sous-terrains et des mines de la partie Est du monde nain. N'ayant pas mis mon nom dans la coupe de feu (ou quoi que ce soit d'autre), je compris vite qu'une conspiration avait tenté de révéler le lourd secret de mon identité au reste du peuple des cavernes. Evidemment, en tant que chef, j'avais à présent tous les droits de faire taire l'affaire. Ce que je fis sans attendre.

Avec un emploi du temps de ministre tel que le mien, je dû vite réfléchir à des solutions pour garder une vie calme et authentique. C'est pour cela entre-autre que mes apparitions officielles se font sous forme d'hologrammes, cette technologie anachronique dont seul les nains les plus brillants ont le secret. Dans une même optique, ce n'est pas vraiment moi qui suis assise sur le trône de la salle royale; mais bel et bien une personne choisie au hasard le jour de mon couronnement. Ne vous inquiétez pas, son sceptre est bel et bien en plastique. Mais pour en revenir au sujet, tous ces subterfuges me laissent le temps de continuer mes aventures à travers les cavernes sinueuses et toujours plus sombres de la partie Est de mon Royaume. Et malgré des activités présidentielles des plus douteuses, je ne puis me plaindre de la position de pouvoir dans laquelle je me suis soudainement retrouvée.

Si les tas d'or semblent être parsemés le long de ma route politique, je ne puis dire que j'en ai une quelconque utilité. Lorsque je ne les balance pas à mes conseillers financiers, ceux-là même qui font tous 1 mètre de moins que moi mais ne se doutent de rien, je l'utilise pour acheter toutes sortes d'artefacts étranges qui iraient bien dans mon salon. C'est ainsi que je réveilla plus d'un démon lorsque je prononça le mot interdit ("chocolatine" au lieu de "pain au chocolat") dans mon palace. Effrayants aux premiers abords, ces démons-là ne semblent pourtant pas trop s'occuper du triste sort des mortels. Au contraire, mon escorte maudite parait bien plus enclin à faire des jeux de mots vaseux et des blagues sans chutes qu'à adopter son rôle originel de vecteur du mal. Si le huitième "Jean peuplus" de la journée ne provoque qu'un rire jaune, le cortège maléfique amène tout de même une touche de couleur (verdâtre et puante, certes) aux tristes couloirs des mines sans soleils du monde des nains.

Voilà pour ce qui est d'un résumé bref de mon histoire dans ce pays. Bien évidemment, j'ai passé tous les détails et me suis concentrée sur les moments clés qui ont fait de moi l'être que je suis actuellement. Pour toute informations complémentaires, mon hologramme sera ravie de vous répondre.